Ces dernières années, la recherche vocale s’est énormément développée. Premièrement, via les appareils mobiles : pour des raisons de confort et pratiques, les utilisateurs préfèrent dominer leur propre recherche plutôt que leur contribution. Ce qui a incité de plus en plus de recherches vocales. Désormais, plus de 50 % de toutes les recherches seront vocales. Ce qui impacte énormément le e-commerce.
Votre cible utilise-t-elle la recherche vocale ?
Selon des études récentes, 40 % des personnes âgées de 18 à 35 ans font des recherches en ligne en utilisant leurs assistants vocaux pour obtenir des informations sur les prix ou les caractéristiques des services ou des produits avant d’effectuer un achat. Ces assistants peuvent aider les consommateurs à faire des achats. Un autre rapport a révélé que les jeunes sont plus susceptibles d’utiliser la recherche vocale plutôt que les moteurs de recherche traditionnels. L’étude montre que la recherche vocale e-commerce se développera dans les années à venir.
Doit-on inventer un parcours client 100 % voix ?
Dans le contexte des appareils omnicanaux et omnidirectionnels, il existe désormais deux routes qui permettent d'effectuer des recherches : le routage de texte et le routage vocal. Il n'y a pas de concurrence entre ces deux expressions. Au contraire, ils ne peuvent pas répondre aux mêmes besoins, mais sont complémentaires. La voix rend la parole du consommateur libre et enrichit ses questions. Quant à la réponse, si le contexte le permet, elle peut être affichée visuellement à l'écran, ou elle peut être exprimée simplement et précisément par une réponse vocale. La recherche interne peut bénéficier du meilleur des deux mondes. Par exemple, affichez les produits lorsque cela est nécessaire pour informer les clients de choisir et de recevoir des commandes via la recherche vocale e-commerce.
Perspectives intéressantes, mais avec des obstacles encore à surmonter
En France, la popularité de la recherche vocale est encore timide, mais le service de recherche vocale lui-même évolue également. Plusieurs domaines doivent être améliorés, notamment en ce qui concerne la confidentialité des données et les soupçons d’espionnage. Bien que certains utilisateurs se disent prêts à partager leurs données personnelles pour obtenir un contenu plus personnalisé, d’autres restent très vigilants. Il n’y a jamais eu autant de canaux qui mènent directement ou indirectement à des achats : point de vente physique, site Web, site Web mobile, email, SMS, blog, vidéo, réseau social, application, jeu de récompense, chat en temps réel, rappel, chat bot, assistant vocal et beaucoup plus. Cependant, on peut remarquer que ces dernières années, les utilisateurs qui ont des privilèges dans le processus d’achat sont ceux qui autorisent les « conversations » (chat, chatbots, rappels, assistants vocaux), et ils répondent à la demande de relations « one-to-one ». One « par exemple dans un point de vente physique, sans avoir à se déplacer !